RGL: LA JUDAISATION DES TUTSIS: IDENTITÉ OU STRATÉGIE DE CONQUÊTE.(Partie 1)

10 novembre 2015

Politiki

En 2013, lorsque IKAZE IWACU a publié cette information concernant l’Empire Hima-Tutsi et ces planificateurs regroupés au sein de ce qu’ils appellent l’INSTITUT HAVILA, plusieurs lecteurs croyaient que c’était une rumeur ou une sorte de propagande. Maintenant l’un des membres de l’Institut Havila est sorti pour défendre leur projet. Ecoutez bien cette audio en bas en Kirundi. Elle a été publiée la semaine passée un jour avant le discours incendiaire de Paul Kagame à propos de la crise que traverse le Burundi voisin. 

Vous comprendrez bien que le Rwanda est dirigé de l’extérieur d’où la création du « PAC » (Presidential advisory council) un club des étrangers qui entourent Kagame pour lui donner des ordres sur la manière il doit mettre en pratique leur grand projet régional de créer un grand pays dans la région des grands lacs africains, un pays qui régorge beacoup de ressources naturelles que les occidentaux ont tellement besoin dans leurs industries de la téchnologie de pointe. De l’autre côté Kagame et compagnie vont conquérir de vastes terres pour leurs vaches, et ils vont béneficier d’une protection de ces occidentaux, et vont rester au pouvoir éternellement. Lisez en bas l’article publié sur IKAZE IWACU en août 2013:

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Depuis un certain temps, une nouvelle identification sociale est née chez les tutsi du Rwanda, du Burundi et de l’Ouganda. La réclamation d’une l’identité juive, les tutsi hébreux’ (Israéliens, peuple de Dieu, peuple saint etc.) fait certainement son bonhomme de chemin et de façon non hasardeuse. Elle coïnciderait avec les causes et engins des guerres qui bouleversent la région de grands-lacs africains.

PAC, club des conseillers étrangers de Paul Kagame

Au regard simpliste, cette idée renvoie à la méfiance. A l’observation minutieuse, elle suscite une série de questions fondamentales aux malheurs de l’Afrique centrale. A la lumière des révélations récentes du journal canadien ‘National Post’, sur les vrais déclencheurs du génocide rwandais, qui pourtant ont été couverts pendant plus de deux ans par l’ONU, la conspiration internationale de Kagame dans la guerre en Afrique centrale ne fait plus de doute. Pour les présidents rwandais, burundals et ougandais, tous les moyens sont bons pour conquérir le coeur de l’Afrique. Le processus de la judaïsation des tutsis par rapport aux guerres qui secouent la région des grands-lacs africains en est une.

Presque deux ans après le renversement de la dictature de Mobutu au Congo, quatre ans après l’assassinat de Melchior Ndadaye au Burundi, quatre ans après l’assassinat du président Juvenal HABYARIMANA, comme au hasard, « Jerusalem Post » dans son édition du 23 novembre 1998, déclarait officiellement pour la première fois ce qui circulait en rumeur depuis un certain temps:  » Nous lançons un appel à Israël et a la Communauté Internationale pour condamner et prendre des actions contre toute violence anti-israélite perpétrée par les non-israeliens à travers l’Afrique, y compris plus de 500 000 Tutsi- Hébreux Israéliens au Rwanda ».

Cette révélation allait donner un autre aspect certainement moins apparent mais très important à la crise qui secoue l’Afrique centrale et en particulier le Congo. Mardi 11 mai 1999, le journal canadien National Post publiait a la page 17, un grand article sur les Lemba, un autre peuple noir, qui allègue certifier après analyses que selon les gênes sanguins qui déterminent l’hérédité, les Lemba seraient des juifs noirs descendants de Aron. L’article cite David B. Goldstein, un juif, généticien à Oxford (Angleterre) : ‘Le problème est qu’il y a eu des mixages avec les populations ôtes, ce qui a obscurci leur ascendance’. Cette première façon de définir les termes ‘mixage’ et population ôte’ a une connotation raciste. Car pour lui, certains ancêtres sont des vrais ancêtres et d’autres ne le sont pas.

UNE CONFERENCE DANS LA CONFIDENTIALITE

Dimanche 10 octobre 1999, une réunion est annoncée à Bruxelles dans la plus grande discrétion: c’est la conférence de Havila. Le lieu aménagé pour la conférence est le prestigieux Centre de Séminaires de l’Hôtel «Mercure» situé en ‘bordure du cadre exquis du Parc de Lauzelle, dans le Brabant Wallon belge’ . Pour bien et rapidement situer le lecteur, mentionnons que ‘Havila’ est le nom attribué a la région des grands-lacs par ce mouvement de la judaïsation des tutsis.

La conférence ‘inaugurale des activités académiques de l’Institut de Havila’ s’annonce par la judaïsation de tous les tutsi: ‘Sous le signe des armoiries hébraïques de Havila: l’Etoile de David, caractéristique des États modernes d’Israël et du Burundi; les Tambours de Salomon dont les Souverains shebatiques de Havila sont les gardiens, autour des Sources les plus méridionales du Fleuve sacré des Pharaons (le Pishon biblique ou Nil); un fragment des Hassarad Hadivarim (les Dix commandements de Moise) qui sont la marque de l’Alliance mosaïque et la figuration de la «mémoire perdue» des peuples hébraïques de « Havila ».

L’INSTITUT DE HAVILA

Un ‘Institut des GRANDS-LACS’ existe depuis un certain temps et regroupe dans la plus grande discrétion les grands intellectuels tutsis a travers le monde. Dans les milieux tutsis, il s’appelle ‘Institut de Havila’ et ‘rassemble pas moins de sept centres de Recherche, d’Intervention et de Rayonnement, implantés sur presque tous les continents’. Ces centres ont l’objectif commun de restituer et de faire revivre la «mémoire perdue» des douze codes hébraïques qui ont caractérisés, depuis des millénaires, la civilisation des peuples kushitiques de l’Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.) et gardiens des Mines du Roi Salomon’.

Chacun de sept centre de l’institut de Havila a sa mission. Selon l’importance de sept centre de l’institut de Havila, mentionnons:

1) Le Centre «GEDEON»: ‘observatoire de la situation sécuritaire et stratégique des peuples shébatiques de Havila. Il fait régulièrement rapport à l’Institut afin que les membres de Havila s’habituent à avoir les pieds sur terre, d’avoir l’oeil rive sur les contradictions de l’histoire présente, faites de crises transitionnelles, d’affrontements armés.

2) «Le Centre «ROI SALOMON», s’occupe de l’Analyse économique et financière dans Havila. ‘Comme par hasard, devons-nous rappeler des expressions véhiculées par les promoteurs de cette conquête en Afrique centrale: « Mines du roi Salomon » (le Kivu), les ‘Pipelines du Roi Salomon’ (projet en cours avec le gouvernement Kabila pour offrir l’eau du Fleuve Congo à Israël) . En essence, comme pour le cas du nom « Mulenge » dans la guerre actuelle qui a commencé au Kivu, la mission que se donne ‘le Centre Roi Salomon’ de l’Institut Havila, soulève la curiosité de savoir ce qui restera aux Congolais en tant que peuple.

3) Centre «HAKIM» rassemble des spécialistes en Médecine, en sciences naturelles, en Écologie, chargés d’étudier les conditions Ecosystemiques dans lesquelles ont émergé les civilisations anciennes de Havila, le mode de vie et d’alimentation des peuples de Havila, qui en ont fait dans le temps des peuples de centenaires, comme les caucasiens.

4) Le Centre «MULENGE» a la mission de maîtriser ce qu’on appelle les Nouvelles Technologies de Communication; il doit rassembler la documentation, les pièces d’archives, relatives à Havila, mais aussi publier, dans les Annales de Havila des dossiers documentaires sur toute question jugée cruciale par la direction de l’Institut. Le Centre d’«ISHANGO», qui appuie <MULENGE>, s’occupe notamment des questions logistiques ; il est chargé entre autres de collecter des pièces de Musée caractéristiques des peuples anciens de Havila, d’organiser des manifestations culturelles et folkloriques spécifiques aux civilisations de Havila, de faire fonctionner la «Fabrique d’Ishango» au sein de laquelle des artisans spécialises reconstituent l’art et l’artisanat salomonique de Havila

5) Le Centre «TECHOUVHAH» s’occupe de la connexion mémorielle des peuples shébatiques du Nil Blanc: Havila (GRANDS-LACS) et du Nil Bleu : Guihon (Éthiopie, Somalie, Érythrée, Ogaden, Ghana, Nigeria), etc.

6) Le Centre «SACEGA»: Souvenir de l’institution du bâton de justice et de gouvernement dans Havila. En Kirundi ce bâton « Intahe » rappelle « la déconnection physique et mémorielle des peuples de Havila par rapport à la mémoire de l’antique Israël, dont ils gardent néanmoins les codes salomoniques et mosaïques, coules dans des traditions multimillénaires, jusqu’ici épargnées de toute tentative de décodage systématique » .

7) Le Centre «BILKIS-REINE DE SABA» qui avait organisé cette conférence, est chargée de l’Analyse et de l’Intervention politique et diplomatique pour les questions relatives au destin des peuples de Havila; Pour les tutsis, la prophétie a ses caractéristiques: pas le retour historique vers Israël ‘mais le retour vers l’ Israël prophétique que figure la «Techouvha», l’espérance de la réunification des «Tribus perdues d’Israël» qui est l’espérance mystique centrale du peuple d’Israël, dispersé aux quatre coins de la terre, depuis la destruction du premier Temple et la déportation à Babylone (-586) qui marque la dispersion dans les Nations’.

Les sources de GRANDS-LACS Confidentiel indiquent que les grands intellectuels tutsis ont célèbré le ‘troisième millénaire’, par ‘la réunification physique des tribus perdues de Havila, de Guihon et du Fouta Djalon’. Une ‘gigantesque festival’ était tenue pendant 10 jours (du dimanche 24 octobre au mardi 2 novembre 1999) à AGULERI dans l’Igboland (au Nigeria). Période conforme à la fête juive de la sortie de l’esclavage d’Égypte.

LES ORGANISATEURS

Retenons quelques noms: l’African Hebrew Organisation’ , la ‘King Solomon Sephardic Federation (KSSF) ‘ et la diaspora juive rassemblée dans le ‘Groupe industriel RIVKIN TECHNOLOGY’

LA BIBLE, LES MYTHES ET LES FAUSSES PROPHETIES

Vendredi le 18 septembre 1998 dans un article ‘L’or du Kivu, engin cache du conflit en RDC’, Agence France Presse écrivait: ‘Une légende vivace dans l’est congolais situant les mines d’or du roi Salomon dans cette zone’ (Kivu), territoire qui alors était et qui reste encore sous le contrôle jaloux de Paul Kagame, le président rwandais de facto. Aujourd’hui comme alors, le pillage de l’or du Kivu battait son plein.

Une autre version veut que ceux qui appuient les tutsis dans la guerre de conquête au Congo, expliquent l’invasion actuelle au Congo par la bible. A la conférence de Havila, quelques versets bibliques sont lus: le livre d’Exode 4, 17; 17, 5; 3,10; 3, 16-20 et 17, 5-7. Selon eux, ‘la guerre actuelle de conquête tutsie dans la région de grands-lacs, ‘HAVILA’, et surtout au Congo, est un fait prophétique, une volonté de Dieu d’Israël ‘. Et pour preuve disent-ils le livre biblique d’Esaie, chapitre 18, verset 1-2 est leur appui.

Ici on parle des ‘peuples de grande tailles’ (les tutsis) qui hériteraient le pays situé entre deux fleuves au sud de l’Éthiopie (le Congo). Cette région serait donc l’actuelle région des grands-lacs africains ou simplement en termes tutsis- hébreux: ‘la terre sacrée de havila’, ‘la mémoire perdue de douze codes hebraïques des peuples kushites de l’Abyssinie Méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.)’.

A suivre….La partie 2 sur le link en bas:

http://ikazeiwacu.fr/2013/08/18/la-judaisation-des-tutsis-identite-ou-strategie-de-conquete-partie-2/

 

La rédaction

Ikazeiwacu.fr

Source: GLC